© Alain GUILLAUME – 11 septembre 2022
ACOZ, vie locale d'un village au coeur de l'Entre-Sambre-et-Meuse
Vie locale d'un village au coeur de l'Entre-Sambre-et-Meuse
© Alain GUILLAUME – 11 septembre 2022
Article paru dans la revue « LE MARCHEUR » n° 238 de décembre 2020 – Association Royale des Marches Folkloriques de l’Entre-Sambre-et-Meuse
© Alain GUILLAUME – Janvier 2021.
© Alain GUILLAUME – Juin 2020.
Voici la 11e partie de la photothèque, consacrée au week-end des 31 mai et 1er juin 2003, à l’occasion du 9e centenaire de la reconnaissance officielle de la sainteté de Rolende.
Je remercie vivement tous ceux et celles qui m’ont aidé à constituer ce magnifique souvenir.
© Alain GUILLAUME – juin 2020.
Belle surprise lorsque Luc ELOY m’a envoyé cette vidéo. Sa tante, Malvina BOUSETTE, avait réalisé ces prises de vues en Super 8. Luc a transformé ce précieux souvenir en fichier MP3.
Il s’agit du défilé des Compagnies des Flaches et de Joncret au château Pirmez, le lundi de Pentecôte 1961..
Avant l’entrée de la Marche des Flaches, les trois enfants ont été identifiés : il s’agit de Luc, Thérèse et Etienne ELOY, neveux de Malvina BOUSETTE.
A la droite du sergent-sapeur, on y reconnaît Fernand POULEUR, bourgmestre d’Acoz. La fanfare n’est autre que celle de Tarcienne sous la direction musicale d’Ernest ERNEST.
C’est ensuite au tour de la Compagnie de Joncret à faire son entrée. A la gauche du sergent-sapeur, on distingue Fernand ADAM, échevin de la commune d’Acoz.
En avant-plan de la châsse de sainte Rolende, Rosa MABILLE, dite « Rosa Nan.nan ». La châsse est portée par André PIRMEZ, fils du Baron et de la Baronne Hermann et Emilie PIRMEZ-DE MARMOL. A sa gauche, André WYART (père de Guy, accompagnateur actuel). Notre garde-champêtre Marcel BERNY, en gants blancs s’il vous plaît !
Après les deux salves, la Marche de Joncret se remet en route sous un pas redoublé interprété par la Fanfare Royale d’Acoz avec à sa tête Vital BERTULOT (président) et Jules GIGOT (vice-président). J’ai identifié Camille VANESSON (le directeur musical), Jacques BERTULOT (le jeune saxophoniste vu de dos) et René FRANCOIS, dit René « GUEUVENS » (le frappeur à la grosse caisse).
A cette époque, les spectateurs présents sur notre splendide site acozien étaient peu nombreux… cela a bien changé et c’est tant mieux !
Je laisse le soin des identifications des Marcheurs à nos amis de Joncret et des Flaches que j’invite à les formuler en cliquant sur « laisser un commentaire ».
La tante filmait sur du « double 8mm » c’est l’ancêtre du super 8mm. Il s’agit de petite bobine de 6m.5 de film de 16mm de large. On utilise lors du premier passage, 8mm de largeur de film. A la fin de ce passage on doit retourner la bobine dans l’obscurité pour utiliser l’autre largeur de 8mm. D’où le nom « double 8mm ». Si le retournement ne se passait pas dans une obscurité suffisante, il y avait des « coups de lumière » sur le bord du film…
Il n’y a pas de son enregistré, ce qu’on entend lors de la vision c’est le projecteur de film. Ensuite j’ai projeté sur écran et à l’aide d’une caméra digitale actuelle, j’ai refait un film. Cela me permet de découper les séquences et en faire de petits films au format *.avi.
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Merci à Luc ELOY.
© Alain GUILLAUME – Février 2020.
Emile LECLERCQ a été tué en France lors de l’évacuation en 1940. Avec ses parents, il gérait la ferme située à la rue des Ecoles, actuellement propriété de la famille CHIF.
Dans les années avant-guerre, Jean CORNIL aurait aussi marché tambour-major. Avec sa famille, il gérait une ferme située à l’actuelle rue de Joncret. Malheureusement, pas de photo.
© Alain GUILLAUME – Août 2019.
4 sergents-sapeurs acoziens : Eugène LYES, René DUFLOT, Jules GUILLAUME et Marc COPPENS – Plaine de Sartia 1991.
© Alain GUILLAUME – Août 2019.