Les fêtes communales d’Acoz avant la Seconde Guerre mondiale

Jean-Louis HENRIET nous a transmis ces deux affiches relatives aux fêtes communales d’Acoz de 1936 et 1938.

AF FETES ACOZ 1936 640

AF FETES ACOZ 1938 640

Le comité de l’époque

Paul ERNOULD 300Arthur JOACHIM 300Achille SAINTHUILE 300Jules GIGOT 300

Relatons les souvenirs

Elles étaient organisées par les comités de jeunesse, ceux-ci étant réservés aux jeunes hommes célibataires, appelés « chefs de jeunesse ». Ils étaient reconnaissables à la cocarde multicolore épinglée au revers de la veste.

CHEFS DE JEUNESSE 1920 640

2-chefs-de-jeunesse 640

23 Fete Acoz juillet 1959 640

Les fêtes communales acoziennes étaient traditionnellement organisées le deuxième dimanche de juillet. Elles étaient en partie financées par la collecte en porte-à-porte à travers tout le village et les listes de souscription affichées dans les divers cafés.

Les activités principales étaient concentrées sur la place de l’église où le kiosque était monté en plein centre, entouré d’une piste réservée à la danse. Cette piste en bois attirait toutes les attentions en subissant un traitement à la cire ou au talc, très apprécié des valseurs. De longues guirlandes lumineuses avec 200, voire 400 ampoules, étaient pendues au-dessus du lieu. On ne connaissait pas encore la crise énergétique !

Le programme présenté ne changeait guère d’année en année avec les concerts des fanfares d’Acoz et parfois celles de phalanges musicales régionales, les rencontres de balle pelote, des jeux dans les divers quartiers, la messe de la jeunesse en l’église paroissiale…

Ces 3 jours de fête, étalés du dimanche au mardi, étaient l’occasion de retrouvailles familiales et amicales.

Les fanfares d’Acoz

Leurs statuts stipulaient l’obligation d’offrir un concert aux fêtes communales et une prestation annuelle dans les rues du village.

Les bals

L’accès y était gratuit. L’ambiance était assurée par de petits orchestres avec accordéon, batterie, saxophone, trompette. Souvent les musiciens provenaient de la localité ou des villages avoisinants. Les valses, tangos et marches étaient les plus appréciés.

Le bal renversé

Il était de bon usage que les jeunes hommes se présentent devant les parents de la jeune fille avec laquelle ils désiraient danser. Dans les années 60, Salvatore ADAMO n’y était pas insensible et nous le rappelait, avec la chanson qui remporta un succès international : « Vous permettez, Monsieur ».

Un moment apprécié par certaines… le bal renversé donnait l’occasion aux jeunes filles d’inviter. Le moment redouté par certains qui préféraient s’éclipser !

La sortie musicale du lundi

Elle était confiée à un petit groupe de musiciens, généralement du village, qui déambulait dans les rues, visitait les nombreux débits de boissons et était parfois invité chez les particuliers.

FETE COM. ACOZ vers 1920 640_InPixio

18 Fête d'Acoz vers 1955-1958 640

Le concert des mirlitons

Appelé aussi « concert extraordinaire », c’était le moment tant attendu des fêtes communales. « Monsieur tout le monde » se présentait sur le kiosque et interprétait des airs connus au moyen d’un instrument original, allant du simple tuyau au mirliton, instrument de musique dans lequel le souffle humain fait vibrer une membrane afin de modifier la voix qui parle ou chante.

Mirliton 640

La présentation était confiée à Emile LECLERCQ, l’amuseur du village (voir le blog, « Monument aux Morts », catégorie « patriotisme », janvier 2020).

EMILE LECLERCQ 640

Les forains

Ils occupaient les endroits proches de la place de l’église. Le carrousel enfantin était attendu autant par les parents que par les enfants. Qui ne se souvient pas du ballon avec la floche que l’on essayait de saisir à chaque passage près de la caisse ? L’heureux gagnant avait droit à un tour gratuit. Les balançoires à nacelles, les tirs à pipe avec les imposants lots à gagner, la pêche aux canards… sans oublier la baraque à frites. Ces frites, cuites à la graisse de bœuf ou de cheval, étaient servies en sachet conique ; les sauces moutarde et mayonnaise étaient gratuites et versées directement sur les frites. A noter que les tenanciers de débits de boissons ne voyaient pas d’un bon œil les « satchos d’frites » qui laissaient des traces grasses sur le bord des verres, responsables des cols sans mousse.

Les mardis, les enfants attendaient avec impatience le passage des « chefs de jeunesse » pour la distribution gratuite des tickets aux différentes loges foraines.

Carrousel 640

floche 640

BALANCOIRES 640

tir à pipes 640

peche canards 640

sachet de frites 640

L’enterrement de la tarte

Pour clore les festivités, toute la population se réunissait sur la place de l’église le mardi avant minuit. Moment festif avec les « chefs de jeunesse » qui creusaient un trou au pied du kiosque (la place n’était pas encore asphaltée) pour y déposer une tarte en signe de fin des festivités ; tout cela bien sûr avec l’ambiance musicale assurée par « l’orchestre de la ducasse ».

 

Dans les années 50, le corps d’office de la Marche Saint-Roch et Saint-Frégo organisait une sortie le dimanche après-midi. Parfois, la fanfare les accompagnait en visitant les divers cafés du village.

Vers 1975, le comité de jeu de balle pelote « Acoz les Coquis » dirigé par Fernand HANQUART, tenancier du café « Au Voltigeur », reprend les rênes des fêtes communales avec l’implantation d’un chapiteau sur l’emplacement du magasin « Louis Delhaize », abattu pour faire place à l’imposant bâtiment qui abritera les installations de la RTT (actuellement « Proximus »).

En juillet 1987, un dynamique comité des jeunes relance la ducasse avec de nombreuses activités durant les trois jours (voir ce blog : « 35 ans plus tard… », catégorie « comité des jeunes », mars 2023).

Vers 2001, un nouveau comité de jeu de balle pelote voit le jour et relance les festivités, d’abord sur la place supérieure du centre avant de rejoindre les abords du ballodrome situé au quartier de l’ancienne gare.

Voilà plus de 20 ans que les fêtes communales d’Acoz ne sont plus organisées, contrairement aux villages avoisinants où cette tradition est toujours d’actualité. Peut-être un jour…

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© Alain GUILLAUME – Juin 2023

 

 

 

35 ans plus tard, retrouvailles du comité des jeunes d’Acoz

Le 9 décembre 2022, lors des funérailles de Monique BERNY, maman de Thierry BERTULOT, plusieurs membres de l’ancien comité des jeunes d’Acoz (CJA) se sont revus et se sont rappelés des moments passés lors des festivités organisées il y a 35 ans.

Quelques jours plus tard, lors de la « troisième » mi-temps du concert de Noël de la fanfare locale, certains « complices » ont convenu d’un repas de retrouvailles. Symboliquement, ils ont opté pour les congés de carnaval puisque leur première organisation fut un Grand Feu. La soirée eut lieu aux « ATELIERS CULINAIRES ANTONELLI », endroit symbolique aussi puisqu’ils sont installés sur la place de l’église où le chapiteau accueillait les principales activités des fêtes communales.

Il faut particulièrement remercier Véronique DEGUELLE pour avoir centralisé les contacts et réservations.

RETROUVAILLES 4 MARS 640

Retrouvailles 4 matrs 2023 640

Cette belle soirée où les éclats de rire et la convivialité étaient au rendez-vous a aussi été marquée par les souvenirs d’anecdotes que nous vous livrons ci-dessous.

Les premières réunions se déroulaient dans le garage chez Philippe FRÈRES à la rue de Moncheret.
Pour nous contenir, à chaque fois que nous disions un gros mot (ça arrivait souvent) nous devions mettre cinq francs dans la caisse tenue par Vinciane SCAILLET (notre première trésorière). Voilà comment les premiers fonds du comité ont été levés.
Nous avions tenté de récolter un peu d’argent en vendant des stylos commandés chez BIC en Flandre, ils sont arrivés avec la mention « Grand Jeu d’Acoz ». Renvoyés à l’usine, ils nous sont revenus avec la mention « Grand Feu de Acoz ». Trop tard pour un nouvel échange au risque de ne pouvoir les écouler avant les festivités. Ça n’a pas eu le succès escompté.
Les réunions du CJA ont ensuite déménagé à la cure d’Acoz auprès du Père Élie et Sœur Céline. Là, nous étions choyés.
D’autres réunions ont eu lieu chez Alice, amicalement surnommée « Nènè » ou « Blanche Plume », la grand-mère de Didier CHERMANNE, dit « Bigoudi », qui ne manquait pas une occasion de la taquiner.
Parfois, ces réunions se terminaient par un repas spaghetti, sauce Tabasco !

Les fêtes communales

C’est probablement le 4 juillet 1987 que le comité de jeunesse organisa la première fête communale dans la salle Fernand POULEUR, les nuits y étaient longues…
La première location de la salle nous avait été gracieusement offerte par Gaby POSTIAU, notre président d’honneur. Il est devenu également notre garant bancaire, car nous étions tous mineurs d’âge, la majorité était encore à 21 ans.
Ensuite, ces festivités ont été organisées sous un chapiteau sur la place supérieure de l’église. Pour une location du chapiteau à moindre prix, nous devions nous-mêmes relier les bâches entre elles, à califourchon sur la charpente. Il ne fallait pas avoir le vertige.
Nous dormions sur place durant les nuits afin de faire fuir d’éventuels visiteurs malintentionnés.

COMITE JEUNES 1987-1988 640

JEUNES 1987-1988 640

Les activités étaient nombreuses :

– les élections des « Miss et Mister Acoz », avec le sacre de Véronique DEGUELLE, Cathy DEMUYNCK, Nathalie DEGRAUX, Laurence MASSET, Jean-Louis HENRIET et Nicolas GUILLAUME . Une année, le quotidien « La Nouvelle Gazette » en avait fait le gros titre de la une : « Acoz, les Coquis ont leurs coqueluches ». On n’oubliera jamais l’année où le président d’honneur appela la Première Dauphine à la place de la Miss. Il dut lui reprendre les fleurs et lui annoncer que c’était une erreur ; et cette élection où une candidate surprise (Jean-François CHARLET, travesti) dragua et invita à danser un membre du jury (notre brave alchimiste Antoine) ;

ELECTION MISS ACOZ 640

– le tournoi de mini foot au ballodrome ;

TOURNOI MINI-FOOT 640

FOOT A LAUSPRELLE 640

– les concours de playback, à la mode à l’époque ;

PLAYBACK juillet 1988 640

– les démonstrations des clubs locaux : dressage canin, karaté et on en oublie certainement ;

– le concert apéritif par la Fanfare Royale d’Acoz du dimanche matin avec ambiance « cocktails » ;

– le tournoi de pétanque à l’actuelle rue des Minières (la rue des garages des cités de la Raguette) ;

– la messe de la Jeunesse ;

– les luttes de catch, avec un Jean-François CHARLET déchaîné, agrippé aux cordes du ring, provoquant les lutteurs. On s’est toujours demandé s’il jouait la comédie ou s’il était simplement inconscient !

– les jeux dans tous les quartiers du village : tir à la corde, courses de garçons de café, courses en sac, plus gros mangeur de spaghettis sans les mains et à plat ventre, glissade sur bâche à silo enduite de savon noir à la rue Saint-Martin, etc…

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JEUX DE VILLAGE 1988 2 640

JEUX DE VILLAGE 1988 4 640JEUX DE VILLAGE 1988 3 640

– Pour la clôture de la fête du village, un feu d’artifice était tiré.
Une annonce était faite au micro pour demander au public de descendre près du monument afin d’admirer le spectacle d’un quart d’heure tiré de l’ancienne ligne de chemin de fer.
Cela avait un certain coût mais le bonheur de voir le scintillement des illuminations dans les yeux des petits et des grands n’avait pas de prix.
Les grands feux

Les premiers grands feux se déroulaient dans la pâture entre la rue de la Scavée et la rue des Minières.
De sa  « tour de contrôle », c’est-à-dire de chez elle, Alice surveillait nos présences, nos faits et gestes, repérait ceux qui glandaient… Que de bons moments avec elle.
Le grand feu a déménagé ensuite dans la pâture en face du cimetière juste dans le tournant.
Le bûcher était allumé, à Acoz, par le dernier couple à avoir fêté ses Noces d’Or…
Gianni et Maria BRIOLA l’ont fait quelques années. C’est que ça ne se trouvait pas sous le sabot d’un cheval un couple qui avait 50 ans de mariage et en état physique de traverser la prairie !
Dans le village, nous ramassions les sapins de Noël avec le camion de Gaby, quel président d’honneur ! Encore merci Gaby.
Son épouse à l’époque, Christine VANDERMOT, nous aidait bien également. Elle réalisa notre étendard, les fanions pour les petites caisses, les brassards pour les comitards et nous aidait pour les courses car nous n’avions évidemment pas le permis de conduire. Pas mal de parents mettaient la main à la pâte.
En ville, c’était notre brasseur Christophe DELBART qui nous assistait avec son camion pour le ramassage des sapins de Noël dans les rues commerçantes de Charleroi.
Il fallait ensuite les décharger, les comprimer sous les bâches.
Le montage du bûcher se faisait la semaine du mardi gras dans une ambiance bon enfant. Les journées se terminaient souvent par un barbecue improvisé.
Le mardi gras, nous promenions le bonhomme hiver à travers le village dans une brouette. C’était l’occasion de faire la fête, car le jour du grand feu, il fallait travailler. Une année, « Bigoudi » désirait absolument de la paille pour bourrer son costume de gille. Philippe FRÈRES n’avait que de la litière de moutons… ça embaumait le petit cortège !
Parfois, cela se terminait à Charleroi ou à… Ostende !

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49 GEANT ACOZ 11.2.1989 640

Nos armes, pour nous protéger lors des bagarres, hélas à la mode à l’époque, étaient des battes défensives et des sifflets.
Lorsque des « ravageurs » sévissaient, l’un d’entre nous, lourd si possible, s’immobilisait sur la caisse.
Le signal était un coup de sifflet ou le cri « bagarre ! ». Malheureusement, les personnes malfaisantes connaissaient ce mot et se procuraient également des sifflets. Bref, c’était parfois la pagaille d’autant que les battes se retrouvaient parfois dans les mauvaises mains.
Une année, « Bigoudi » sortit la lance à incendie pour calmer les ardeurs des bagarreurs.
Nous avions aussi notre photographe coureur, Philippe DE LAERE. On se souvient que, alors que nous mettions en fuite des bagarreurs sur la rue de Moncheret près de l’imprimerie, Philippe nous dépassa pour aller prendre en photo les fuyards.
(Philippe, si tu retrouves les photos ?)

Pour les 3×20

En novembre, nous organisions un thé dansant pour les 3×20, animé par Fernand COLLE d’Hanzinne. Quel bon souvenir aussi. Nous allions inviter les aînés à leur domicile.

La Saint-Nicolas

Lors de la Saint-Nicolas, nous faisions le tour du village avec quelques musiciens de la Fanfare Royale d’Acoz.

JEUNES ST NICOLAS 1987 640

47 WILLY ST-NICOLAS 1987 640

Un goûter était organisé à la salle Pouleur et notre photographe attitré, Richard TOUBEAU, prenait les photos des enfants sages avec saint Nicolas.
La projection d’un dessin animé était également au programme avec le concours du Foyer Culturel.
Le 6 décembre 1987, notre Père Fouettard dut se rendre à la maternité pour assister à la naissance d’un petit Damien.

La fête à notre centenaire

En 1989, ce fut le centenaire de Monsieur Jean-Baptiste GEVENOIS. Les préparatifs se faisaient au home « « LA SAPINIERE » à Joncret où il résidait depuis peu.
Nous lui avons demandé ce qu’il voulait pour son anniversaire.
Après quelques secondes de réflexion, il répondit « je veux qu’on fasse une photo de moi et qu’on se souvienne de moi à Acoz ». Ainsi fut fait.
Et pour nous remercier, il s’est levé de son fauteuil et nous a offert 10 flexions – extensions et nous dit « voilà comment j’essaie de rester en forme ».
A 100 ans, bravo. Mais nous avions peur qu’il ne tombe ou qu’il ne nous fasse un malaise à quelques jours de sa fête.
Tout se passa bien, la famille, le CJA, les autorités et la fanfare contribuèrent au succès de ce jour mémorable.
Notre brave centenaire nous quitta quelques mois plus tard, le 15 janvier 1990.

CENTENAIRE GEVENOIS 640

Les voyages

Le Comité de Jeunesse organisait des voyages chaque année dans les parcs d’attractions : Walibi-Aqualibi, Bellewaerde, Bobbejaanland, Efteling, Phantasialand et le Movie Park Warner Bros.

Il y eut également « le week-end entre nous » en caravane de location au parc provincial de Chevetogne. Le camp se terminait par un BBQ avec les parents qui venaient nous chercher. Ils ont eu en apéro le vin chaud… inutilisé de la veille ; c’était bon d’ailleurs !

Chaleureux remerciements à Christine VANDERMOT, Véronique DEGUELLE, Carole DOTEL, Thierry BERTULOT et Jean-François CHARLET pour nous avoir remémoré ces succulentes anecdotes.

Vivement les prochaines retrouvailles !

                                                                     Philippe FRÈRES.

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© Recueilli par Alain GUILLAUME – 25 mars 2023.

On aurait pu connaître un drame à Acoz

Boris HERMAND, passionné d’aviation, après avoir découvert l’article « Saint Nicolas en hélicoptère à Acoz », m’a contacté pour m’informer que l’hélicoptère qui a contribué au merveilleux souvenir du 1er décembre 1973 s’est écrasé 7 mois plus tard.

HELICOPTERE ACOZ
L’hélicoptère lors de son atterrissage à Acoz le 1er décembre 1973.

Voici le rapport officiel, ainsi que les photos y attenant…

Indicatif d’Appel: OO-EAU

Fabricant: Schweizer

Modèle: 269C

Date: samedi 13 juillet 1974

Heure (UTC): 10: 29h

Emplacement: Jambes

Phase de vol: Vol

Cause : technique

Victimes : équipage (indemne) 1 – passagers (indemnes) 2

Description :

Le pilote était à Jambes pour une série de vols publicitaires pour la chaîne de supermarchés Sarma. Les vols partiraient du parking Sarma. Le pilote est venu d’un site privé de Bouge avec deux organisateurs. Lors de l’approche finale du parking Sarma, l’entraînement s’est déconnecté de la tête du rotor, de sorte qu’il n’a plus été conduit.

Le pilote a dû effectuer un atterrissage en autorotation obligatoire sur un site de l’école de filles juste derrière le supermarché. La rotation des voitures ne s’est pas très bien passée; mais les trois passagers sont sortis indemnes de l’épave.

Conclusion :

La cause de l’accident est la défaillance de l’un des deux roulements à rouleaux responsables de l’entraînement et du fonctionnement libre des pales du rotor. Cela a provoqué une déconnexion de l’entraînement des pales du rotor de sorte que les pales du rotor n’étaient plus entraînées.

Le pilote a donc dû effectuer une rotation obligatoire de la voiture, ce qui a entraîné un accident.

HELICOPTERE 1 640

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Sept mois plus tôt et c’était la catastrophe à Acoz…   Merci saint Nicolas !

Grand merci à Boris pour avoir permis cette découverte. (Je vous invite à admirer les merveilleuses photos d’aviation militaire publiées sur le mur de Boris : Facebook  Boris HERMAND).

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© Alain GUILLAUME – Décembre 2019.

Le comité des jeunes d’Acoz – 1970

Si vous avez participé à la vie de ce comité ou si, tout simplement, quelques souvenirs de ses activités vous sont restés en mémoire, alors n’hésitez pas.
Nous vous proposons de nous rejoindre le dimanche 16 décembre 2018.
Venez avec vos souvenirs, photos et autres afin de rassembler un maximum d’informations que nous remettrons à Alain Guillaume, responsable du blog d’Acoz pour une éventuelle publication sur celui-ci.
Nous vous attendons au Centre Culturel de Gerpinnes – rue de Villers  61, à partir de 14 heures.
Nous pouvez nous informer de votre participation par sms ou mail.
Contact :
Alain POSTIAU –  0479 861 304 –   alainpostiau@hotmail.com